Le voilà, ce hêtre remarquable ! .:shock:
Il se trouve un peu en-dessous de la cabane du "Chardon bleu, n°2", et il est franchement d'un gabarit supérieur à tous les autres dans ce coin de forêt.
Estimer son âge est bien difficile; je suis tenté d'écrire qu'il pourrait avoir dépassé les 150 ans...??
Ce qu'il faudrait, c'est d'en parler avec des personnels des eaux et forêts du coin, dans l'idée qu'ils sachent un peu plus de son histoire.
Là, on est revenu dans la face sud. Cette photo est prise du promontoire supérieur, juste en-dessous du deuxième câble, et en haut de la partie que je qualifierais "d'aérienne". On voit bien qu'on ne voit pas beaucoup la trace de montée ! .:shock:
Donc, si l'on prévoit de faire la re-descente par là (message adressé à JenouKiKraK) il faut avoir bien noté le cheminement lors de la montée. Sinon, moment de stress garanti.... .:roll:
Une fois arrivé en haut de cette dernière montée, on peut regarder le chemin suivi. .:shock:
C'est toujours plus impressionnant de loin que quand on est "dedans".
Mais pour aujourd'hui, je crois que je vais m'en tenir là.
Comme le disait une légende dans le seul livre de dessins humoristiques sur la montagne et l'escalade que je connaisse - intitulé "Du mou sur la rouge !" :
.... "Je vais arrêter ici. Après, ça a l'air dur". .:lol:
Une fois passé le bas-de-plafond, j'en suis là.
En face, c'est un bonne petite remontée, moins pire qu'il n'y paraît.
Et c'est tout en haut, que se trouve le cairn à 2 pierres plates laissé par mon prédécesseur. .:wink:
Je me décide à passer par là : c'est le meilleur du coin... .:|
Par contre, le passage est bas de plafond et, vu ma taille, je finis à quatre pattes, le casque rayant le plafond en question. .:?
Tout en haut de la grande vire, il y a un petit collu. Il y a aussi un changement de facette : d'orientation SO, on passe maintenant en OSO.
Et cette simple petite lettre "O" en plus, modifie complètement la donne : ce n'est plus pareil maintenant. .:cry:
A l'étage en-dessous, il y a une autre vire. Mais celle-là, elle n'a pas la même allure. La roche calcaire est toute brisée ! .:shock: Un spectacle surprenant.
Voici comment apparaît cette vire, une fois que l'on a quitté la sentier de la face sud. Elle est très large, bien herbeuse, et finalement bien raide aussi. Mais au total, elle donne envie d'aller voir en haut. .:o
Au sortir de la forêt, voici la face - la belle face - dans laquelle je prévois d'aller me balader : tout là-haut, dans les vires boisées.... Heureusement que le ciel est bleu; cela donne du courage !
Ici, ce n'est plus l'Ebron, mais déjà le lac du Monteynard.
Baignade assez particulière, dans des eaux où l'on a encore pied longtemps.
Cette partie des gorges est très agréable : un trottoir de dalles inclinées, en rive droite, permet de franchir la centaine de mètres en question sans aucun souci. Et juste à sa gauche, l'eau de l'Ebron coule vivement : c'est super sympathique !
Quand on est au bord de l'eau, voilà ce que cela donne...
Calme, douceur, fraîcheur, chaleur,... donc farniente !
Ici, c'est la partie centrale du méandre.
Vu d'en haut, voici donc le méandre d'Avianne.
En fait, on n'en voit que la partie aval, car mon appareil photographique ne s'appelle pas "drone" et qu'il manque le début de ce virage de l'Ebron. Et que pour voir le tout en un seul coup, il faudrait alors utiliser un hélicoptère ou un avion.... Bon ce n'est pas dans mes moyens.
Mais quand même, vu comme cela,..... quand même,.... vous devriez ressentir le charme des lieux, et l'envie d'aller toucher l'eau.
Non ??
Lors du retour, nous redécouvrons un paysage plus ouvert, et qui serait plus sympa si ce n'était la chaleur du jour.
La photo ne rend pas l'emprise de la chaleur, ce jour-là...
Et l'envie de se tremper dans l'eau nous est coupée par la couleur marron du ruisseau.
Cette couleur est due au fait que l'eau à "frotté" contre les coulées de boue - maintenant séchée - qui ont glissé jusque dans le lit du Riffol. C'est vraiment dommage !
Quand on compare la largeur du ruisseau ce jour-là (moins de 2 mètres) avec la largeur du lit creusé lors des crues temporaires (disons entre 8 et 10 mètres), on prend bien la mesure de ce que les orages tombant sur les gorges du Baconnet peuvent provoquer comme phénomène de grande ampleur.
J'aurais bien envie de voir cela, mais d'en haut, et pas depuis le fond du lit du Riffol !
Jamais je n'aurais pu imaginer un tel décors, si près de Grenoble, dans le Trièves...
Ici, bien sûr il y a toute cette végétation.
Mais si, par l'imagination, on se prend à essayer de la soustraire du paysage, alors on peut presque se croire dans l'Aïr, au détour d'un oued dans le massif montagneux...
Et derrière ce coude, peut-être vais-je rencontrer le capitaine de Saint-Avit, cherchant Antinéa...???
Depuis les hauteurs de la rive gauche, l'Ebron présente ici ses derniers méandres avant de couler dans le lac du Monteynard.
Quand même impressionnant de voir ces échafaudages mis en place pour élargir le tablier du pont .:shock:
Si l'on s'approche beaucoup, les embruns finissent pas mouiller l'objectif ! .:lol:
Une fois au pied de la chute, on comprend mieux les étages successifs qui imposent à l'eau tous ces rebonds.
En arrivant en bordure des gorges de l'Ebron, ici hautes d'une quarantaine de mètres, la cascade apparaît, mais pas dans toute sa dimension. Il faut ruser pour en photographier la plus grande partie.
Cette fois-ci, il s’agit du confluent Ebron et Riffol-Grosse Eau.
Photo toujours en direction du sud.
En regardant bien dans l’angle à droite en bas, on repère l’eau du Riffol qui est boueuse.
Descente tranquille dans cette zone des gorges.
Quand le soleil est là, quel plaisir !
On est ici au conflent de l'Ebron (à gauche) avec le ruisseau d'Orbannes (à droite).
Photo est prise en direction du sud.
Les marnes de la rive gauche de l'Ebron, que l'on voit là, font une cinquantaine de mètres de hauteur, et il est hors de question de pouvoir le grimper (sauf à tailler des marches au piolet !). Quant à la végétation au-dessus des marnes, elle est redoutable et nécessite une transformation en espèce "sanglier".
Torrent et ruisseau calmes aujourd'hui.
Direction plein sud, les gorges de l'Ebron se cachent sous le couvert forestier. Pourtant la pépite est là, dessous, et il faut aller la voir.
Au fond du panorama et comme un point d'orgue, un grand arc de montagnes qui donne le "LA" d'un paysage magnifique.
Sur la gauche, ce sont les 2 Ferrants : Petit et Grand.
Depuis les hauteurs de la rive gauche, l'Ebron présente ici ses derniers méandres avant de couler dans le lac du Monteynard.
A droite de la photo, et donc en rive droite du torrent, se voit la plage de galets où débouche la descente depuis l'éperon de Bouchaire.
Ce versant de Bouchaire est bien raide, mais finalement moins raide que celui d'en face ! Cette rive gauche tombe sur presque 200 mètres de haut.
Sinon, l'Ebron est là tout beau et calme, dans un niveau d'eau assez classique semble t-il.
Quand, au détour d'un arbre, une telle vision s'est présentée, alors oui ! l'envie de descendre jusqu'au lit du torrent m'a pris, et je me suis juré que j'irai me baigner dans cette eau bleu-verte magnifique....
Cette fois, c'est vu depuis le sommet. L'éperon est est celui au centre. La sortie se fait dans les jeunes plantations RTM, au milieu des 2 rigoles de cailloutis
Ce passage est agréable, hors des pins. Je prends le temps d'une photo avec retardateur.
Photo mystère.
A suivre sur le fil de discussion "Le jeu des mille bornes", de Michel Pila :
[url]http://www.bivouak.net/forum/viewtopic.php?t=10173&id_sport=2[/url]
Depuis le Serre des œufs, vue d'ensemble que le versant nord-est de Toussière. Le "Chemin des plantations" emprunte la partie de forêt tout à gauche des ravines.
Ici, c'est tout confort !
Cinq étoiles...
Le Serre des œufs, c'est droit devant.
Vers la droite, voici la vue de l'arête pour descendre au Serre des œufs (si vous ne voulez pas aller au col Navite...). Pas très encourageant, vu de loin.
Vers la droite, les gradins herbeux ne m'inspireront pas aujourd'hui...
Une prochaine fois, peut-être ! .:D .:? .:evil:
Une fois franchi ce passage, en se retournant, la vue vers le bas demande un bon équilibre.
En premier plan, l'un des 3 conifères qui rassurent, lors de ce passage.
Vu depuis le pied de la barre rocheuse, voici le point faible par lequel se trouve la solution.
Depuis les derniers arbres plantés par la RTM, on peut admirer la belle selle herbeuse qui mène au Serre des Oeufs.
Arrivé presque en haut des ravines, on voit les dernières rangées de plantations, ainsi que la barre rocheuse qui bloque l'accès direct à Toussière.