200 mètres au nord du Goutaroux, au seul endroit où la falaise n'apparaît pas, il faut descendre dans le versant est.
En pointillés jaunes, la première partie, aisée (R3), quasi horizontale.
En pointillés rouges, la deuxième partie, en descente, parfois très raide.
Dans les 2 cas, la trace des bêtes est excellente.
Là devant : ça va bien. Mais c'est après, dans les branches, que cela m'inquiète....
Profitez bien de ce passage : il était secret, et amène à un superbe balcon en plein vide.
La photo est difficile à comprendre...! Il s'agit d'un couloir, que je viens juste de traverser. Ce couloir tombe depuis en haut à droite, vers le bas à gauche. On arrive à hauteur de l'arbre du bas. Il faut contourner l(arbre du haut, puis traverser sur les marches terreuses. En bas, c'est très bas. Faut pas se rater !
A gauche = chemin sur la crête. Au centre = traversée sous bois, en suivant des traces de bêtes au mieux. A droite = départ de la vire. En pointillé jaune = couloir à emprunter entre caillou décollé et paroi.
Pointillés bleus = chemin du Pas de l'Escalier. Pointillés rouges = bartasse du début (mais assez facile en fait), pas mal de traces de bêtes. Pointillés verts = chemin tout à fait bon à suivre; il rejoint la crête (je n'ai pas su le suivre comme il faut à la descente....mais il faudrait le faire) et mène jusqu'au sommet.
L'approche se fait sur le versant caché, jusqu'au replat sur l'arête SSO. Ensuite, suivre les pointillés. Tout à droite, le gros point signale l'impasse de la vire. Les petits pointillés jaunes montrent le cheminement de sortie.
Les pentes faciles permettent de sortir de la vire et de rejoindre le rocher de Cléton.
Au fond, bien arrondis, ce sont les rochers de la Pale.
Ici la trace est très bonne.
Mais il faut un peu de courage pour l'emprunter.
La traversée très exposée se trouve juste au dessus du ban de genévriers rampants. Il est hors de question, là, de n'être pas concentré à fond !
Ce couloir n'est pas très sympathique. Alors j'ai essayé de la remonter le plus vite possible.
Mais le coeur n'était pas d'accord...
Voici la suite du parcours. On comprend que, là-devant, la vire inférieure va s'éteindre.
Heureusement un couloir (masquée sur cette vue) va permettre de monter d'un étage, et de poursuivre vers le nord.
Vue depuis le pied de l'antenne.
A gauche le Pas du Serpaton. En rouge, trace de passage des bêtes, nettement marquée; elle va à la source (point bleu clair). Deux sapins repère : le n°1 et le n°2. En bleu foncé, approche suivie jusqu'au sapin 1 (oblige à une petite remontée jusqu'au sapin 2). En rose, descente sur la vire intermédiaire (en pointillés = partie cachée). En orange, vire du Serpaton, sur l'étage inférieur. En pointillés bleu foncé : approche possible, mais que je n'ai pas vérifiée.
Vu depuis le haut, voici le passage qui permet de sortir de la facette sud. Le petit pas d'escalade se trouve au niveau du genévrier rond, quatre mètre en dessous. et au dessus, vous voyez que cela passe bien.
Depuis le sommet de la vire, vue arrière sur ce que l'on vient de passer. Et, au-delà des trois sapins du premier plan, il y a le couloir que l'on vient de traverser
Ici est le passage technique et exposé. Car à droite, la chute est interdite. Mais une fois arrivé à l'arbre, cinq mètres devant, tout est bon.
Malgré l'impression mauvaise donnée par la photo, tout tient bien, ici. Les bêtes ont fait tomber ce qui bougeait.
Ces falaise-là ne sont vraiment pas accueillantes. Je n'irai pas voir dedans ce qu'il s'y passe...
Depuis le pierrier qui lui fait face, vue d'ensemble du versant nord du sommet de Peyre Rouge