En voilà, un bien bel arbre !
Un tronc splendide, toutes les charpentières en place, pas de coup de foudre... : vraiment en bonne santé !
Et puis 5.45 mètres de circonférence, ce n'est pas rien.
Il est envisageable qu'il ait plus de 300 ans...???
...et nous avons fait, ensemble, ce parcours merveilleux, vraiment stupéfiant au milieu de la falaise, particulièrement impressionnant par le vide qu’il impose tout autour du randonneur.
Sur cette vague terrasse, même pas horizontale, au cœur de rochers ressemblant à des piles de blocs, encore stables pour l’instant, l’ambiance était hallucinante !
Voilà une autre vue du mur "mystérieux" dont parlait Rafaël, au-dessus du sentier du pas des Voûtes, dans le Royans
Devant la porte d'entrée du cimetière.
Quelques détails supplémentaires dans le fil "Arbres remarquables "
Sur la place principale d'Orpierre, se trouve à la fois cette belle fontaine, et aussi ce magnifique platane !
(voir quelques compléments dans le fil "Arbres remarquables")
Quand je suis arrivé sur ce petit col, la seule vision qu'il m'a été possible d'avoir, ce fut ce bel arbre.
Si grand, si plein, si large, avec sa ramure en éventail si régulière, j'ai été subjugué...
Alors, j'ai fait la photo, pour le garder précieusement en souvenir !
Vue droit vers le sud : en blanc, dans le fond, c'est le sommet du mont Ventoux.
L'aiguille d'en face attire l'oeil, et elle a belle allure !
Dans le fond de la gorge, on voit la route. Le tunnel se trouve juste après le virage.
Une petite vue de l'intérieur...
Et encore est-ce à cet endroit là tout à fait acceptable !
C'est là-dedans que la bonne visée du cap à tenir est délicate. Sinon, on peut y passer beaucoup de temps.
Sur cette vue, toujours prise depuis le collet, on se rend mieux compte de la végétation : basse et accrocheuse !
La gorge de trente Pas est bien visible, en bas à gauche, qui coule vers le sud droit devant. L'étage de falaises empêche de remonter sur les rives (rive gauche ici).
Pour faciliter la recherche, voici ce que l'on voit depuis la route : un tout petit trou, là-haut.
Il faut bien repérer sur quel éperon il se trouve pour éviter les mètres inutiles, car dans la jungle drômoise chaque mètre à franchir se paye cher !
Pour faciliter la recherche, voici ce que l'on voit depuis la route : un tout petit trou, là-haut.
Il faut bien repérer sur quel éperon il se trouve pour éviter les mètres inutiles, car dans la jungle drômoise chaque mètre à franchir se paye cher !
On voit le petit trou dans l'éperon rocheux, devant.
C'est de là qu'il faut bien repérer le cheminement à venir.
Bien sûr le panorama est bouché, mais que voulez-vous, on choisi le jour, pas le temps qu'il fait ce jour-là !
Une fois sortis des échelles d'Odeyer, voici le passage que Pascal qualifie d' " olé olé "...
Ne vous y trompez pas : ce couloir est bien raide !
Cela monte droit dans le flanc de la montagne
Le souffle est court, quand on s'engage dedans.
La photo ne rend pas du tout la pente dans laquelle on se trouve. Tout à peine l'arbre au premier plan donne t-il un peu l'angle, et ce n'est pas un trucage.
Voilà ce pont, tel qu'il nous est apparu lorsque nous avons débouché depuis la "forêt équatoriale" du côté gauche...
Certains de ces endroits ne peuvent se franchir qu'en été, à la nage. Mais pas en hiver...
Ambiance "PNG", dit Scal !
PNG, comprenez : Papouasie Nouvelle Guinée...
C'est à cause de l'atmosphère humide qu'il règne ici, et de la végétation débordante, ou les mousses se comparent à de véritables guirlandes ! ! !
Vous serez sûr du dépaysement.
...En passant, il coupe par deux fois une route d’alpage, qui remonte ce vallon tranquille,...
Quelques pierres, posées au centre d'un alpage, et rien n'est plus pareil...
Quand on réalise que ces pierres font un petit mètre de hauteur, qu'elles sont aussi plantés dans le sol, cela donne une idée de leur poids, et donc du travail que cela a représenté pour les paysans d'antan qui l'ont construit !
De là, on voit bien que le pilier s'appuie délicatement sur la falaise. Et le tunnel entre les deux est bien tentant...
Cette vue rapprochée permet dfe comprendre qu'il s'agit (hélas) d'un pilier décollé.
Coin sympathique, n'est-ce pas ??
C'est le dièdre en haut de l'Encoche avec, à droite, la dalle en rocher dont la qualité semble effectivement bonne.
Jean-Marc est donc tenté ??
Derrière Scal se trouve le trou que la forme particulière donne envie d'appeller "Afrique".
Dessous Scal, ça glisse !!!
Les mains en l'air servent à protéger de l'éventuelle chute de pierre de la voûte
C'est par ce côté que nous sommes arrivés...
L'accès ne se laisse pas faire facilement, et cela nécessite quelques prises d'herbe et appuis fuyants.
Mais le rond de l'ouverture est superbe, et presque parfait !
Cette photo est prise depuis la route forestière venant de la forêt du Sapey. L'éperon des Yeux (en sombre) est en avant-plan de la haute falaise (en clair). Les deux trous ne se distinguent pas bien, à cause du fond gris que l'on voit à travers.
Déjà que ce chemin ne doit pas être très fréquenté, avec en plus cette absence de visibilité, on peut comprendre que ces trous restent dans l'incognito.
Depuis le versant nord de l'éperon, cet angle de vue est le "meilleur" que j'ai pu trouver pour faire un photo. Et encore ne voit-on pas complètement l'un des deux trous. C'est dire si les possibilités de les montrer sont réduites !
Cet ami de pierre-là est de grande taille !!!
La falaise où se trouve son élégant facies fait probablement 50 m de haut, bien que cela n'y paraisse pas sur cette photo.
Et il est en fait le profil d'un haut sommet, dont le nom est tout à fait prédestiné.
Je vous laisse un peu chercher de qui il peut s'agire, car il faut maintenant amorcer la saison des devinettes, comme le dit SautrL dans le fil "Pas du Grépoux".
En cette fin d’après-midi, la vue sur l’arête allant jusqu’au Chamousset est magnifique !
Et, en regardant bien dans l’ombre, à droite, l’encoche se voit, avec son échappatoire.
Cette photo a aussi valeur de souvenir particulier.
Pour ceux qui connaissent le récit « Un chamois », cette photo correspond à l’endroit que j’ai désigné comme le balcon inimaginable, cet endroit dont j’écrivais :
« De ma position, sur la strate plane, ce que je vois ce sont les dix mètres à venir, droit devant. Ensuite, juste après, c’est le vide, le grand plein air, et le long panorama qui envoie jusqu’au Chamousset, un kilomètre plus loin…
Sur cet angle du balcon, dos au rocher et face vers les infinis du panorama, je sens une vague de joie qui m’envahit, et m’ouvre un immense sourire. »
Ne vous y trompez pas, il n’y a pas continuité entre la position du photographe et l’arête vers Chamousset. Il y a un gros décalage… en hauteur !
En regardant vers le bas, l’impression de toboggan est très nette, et la ligne de fin de l’herbe signifie bien le grand saut par-dessus la barre rocheuse.
La trace que l’on voit est celle laissée par les chamois qui se baladent ici, celle que j’ai remontée. A l’endroit où elle arrive à la limite de l’herbe, cela correspond à la fin de l’échappatoire, venant de l’encoche : vu depuis ce promontoire, cela ne donne pas forcement envie d’aller voir…
Vers le haut, maintenant tout est clair.
Le paysage me paraît bien bucolique.
Ces herbes sont épaisses, parfois souples, encore un peu humides de la nuit fraîche d’octobre. Il faut être prudent malgré tout, car la raideur de ces pentes est surprenante par endroits, et le piolet s’affirme être là l’outil incontournable.
Une fois finis les dix pas qui font franchir le plus étroit, je regarde en arrière, et vois les pentes herbeuses de l’encoche : finalement c’était bien pentu, ce coin !
En bas, à gauche, les voûtes sous lesquelles il a fallu passer, dans le dièdre.
Ici, au pied du mur sommital, bien à l’abri, tout est bien.
La vue est magnifique, l’herbe est verte.
Devant, c’est l’échappatoire. Elle est assez large et rassurante pour que je ne sois pas obligé de faire demi-tour, par le dièdre.
Tout est parfait !!