Une sente permet de relier le chemin du Grand Buisson au départ des voies d'escalade en descendant la barre par cette sente escarpée.
Mouflons sur pierrier surchauffé : le balcon Est du Vercors se place pour revendiquer l'invention du méchoui.
Mes "compagnons intermittents". Je tient d'ailleurs cette photo (et d'autres s'ils sont intéressés) à leur disposition : me contacter éventuellement par l'intermédiaire du site.
Au loin, le pas de la Balme. On se rend mieux compte de ce point de vue de la différence de niveau entre les deux portions de la vire.
On voit l'arrivée de la vire à gauche, le pierrier, et la grotte, qui évoque une arche mais qui n'en est pas une.
J'insiste sur cette zone, car c'est là que je n'avais pas trouvé le chemin lors de ma première tentative. .:cry:
Vue depuis la sortie de la grotte. L'arrivée de la première partie de la vire se situe à droite de la photo, à la jonction ombre-soleil sur l'arête
Visible depuis le côté du pierrier, elle situe le niveau jusqu'où il va falloir remonter.
Là, attention, une glissade serait fatale, il y a une belle barre rocheuse en dessous. Prudence, d'autant qu'il n'y a plus de sente individualisée. Et il y en a encore deux du même style.
En se retournant depuis le point de vue du pierrier de la source, on voit le début de la vire que l'on vient de parcourir. C'est confortable, ça se corse plus loin.
La vire est bien visible, la source est un peu en contrebas. Il faut rester à niveau.
Où l'on voit bien la première partie de la Grande Vire des Moucherolle, et la faille de la Petite Moucherolle
Deux des trois mâles que j'ai croisés dans le couloir des Deux Sœurs. Pas farouches !