Tabor par le Piquet de Nantes et la crête des Barres depuis La Valette

montée avec vue sur la Tête de la Grisonnière

Données de la sortie

  • Date :
  • Durée :
  • Dénivelé :
  • 18-11-2011
  • 3h45
  • 1550 m

Douceur et soleil au départ sur ce versant est. La gelée blanche est en cours de séchage et heureusement car le chemin herbeux qui monte au Poyet aurait vite fait de mouiller les pieds.

Après un petit bout de route démarre le sentier en larges lacets qui monte longuement jusqu'au carrefour de la Fontaine sur la crête. C'est tout en longueur et du coup jamais raide.

Au fil de la montée la chaleur se modère par un petit courant d'air, qui devient vent, et sous la crête il faut s'habiller. Il fait froid avec le vent et ça laisse déjà prévoir ce que ça va être là-haut.
Effectivement du vent bien froid souffle sur la crête. Trop froid pour s'arrêter au Piquet, je continue directement sur la crête. Circulation de qq randonneurs sur la crête visiblement tous partis de St Honoré.

Je mange à un collu un peu plus abrité, mais je m'en sors frigorifiée. C'est parti pour la montée au Tabor. Monter après manger a au moins le mérite de réchauffer, mais les mains seront encore bien douloureuses à l'arrivée au sommet.

Finalement la pente terminale est à l'abri du vent et c'est au Tabor qu'il fait le moins froid....Si j'avais su j'aurais essayé d'attendre pour manger là! Nous sommes 3 au sommet.

Un bon moment de contemplation de panorama, mais il faut penser à descendre car ça va être long et ça risque d'être juste en ces jours de plus en plus court.

C'est reparti pour une traversée de crête en plein vent, et ça ne s'atténue qu'une fois dans les lacets sous la Fontaine.
Le sentier est maintenant en majeure partie dans l'ombre, mais la vallée et le versant en face sont tellement ensoleillés encore, que tout en est presque éclairé.
Des mouflons dans la descente...1ère fois que j'en vois d'aussi près.
Arrivée au Poyet, la chapelle est encore sous les derniers rayons du soleil et j'en profite pour une halte-goûter en regardant disparaître les derniers rayons.
Et puis il faut encore descendre la dernière partie (dans laquelle après les mouflons ce sont des sangliers que je dérange et qui détalent) et s'il ne fait pas encore du tout nuit,il n'y a quand même pas beaucoup de marge quand j'arrive à la voiture.


sous le Piquet de Nantes
Depuis le Piquet de Nantes...
le Tabor
la pente finale....
au sommet
au sommet
au sommet
au sommet

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