Topo : La Petite Céüse, ou Céüzette, boucle depuis le Col des Guérins

Suivre le GRP en direction du Col de la Baume sur un chemin carrossable que l'on quitte très vite pour un sentier qui grimpe en lacets sur la croupe Nord (en rouge sur IGN). Arrivé vers le haut, la pente s'adoucit: quitter le GRP et rejoindre en diagonale la crête conduisant, après une légère descente, au pied de l'édifice sommital de la Petite Céüse.
Arrivé sous la petite barre rocheuse défendant le sommet, monter par des traces droit dans la pente herbeuse pour aller chercher un passage au-dessus d'un collet (balises jaunes; il existe un autre passage sur la droite, un peu moins facile). Le sommet tout proche est raidement atteint.

Descente
Reprendre en sens inverse la crête, en se maintenant versant Sud: à son extrémité, on retrouve un peu en contrebas le sentier GRP descendant vers le Col de Bois Rien (1454  m). Arrivé au col, quitter le GRP pour prendre à gauche un sentier bien marqué dévalant des pentes ravinées jusqu'à traverser un petit torrent.
Remonter, toujours dans un terrain raviné, vers l'épaule occupée par les ruines de Céas. Au dessus des ruines, prendre plein Est vers une source aménagée. Continuer au-dessus: la pente s'adoucit progressivement, alors que le sentier devient de moins en moins marqué. Poursuivre dans la même direction à travers des clairières: on arrive assez vite en contrebas de la crête que l'on suit jusqu'à son extrémité rocheuse surplombant la vallée du Déoule.
Revenir sur ses pas, mais en restant cette fois sur le versant Est de la crête. La végétation oblige bientôt à l'abandonner: on passe à une jolie brèche au pied d'un gendarme rocheux, puis plus loin au large ensellement qui marque le début de la descente (1510 m), là où l'arête commence à remonter franchement vers le sommet de la Petite Céüse.
Prendre le sentier descendant vers Sigoyer jusque vers 1410 m, où une petite trace grimpe vers une large croupe. Suivre cette trace, pas toujours très nette, mais en gardant sensiblement la même direction. On traverse bientôt le lit desséché d'un premier torrent, puis un second plus important, que l'on franchit par une succession de traversées raides et de petits éperons. Ce passage peut être problématique s'il a plu récemment. On arrive à peu près exactement au grand virage du chemin carrossable: le suivre jusqu'au parking.