Goupil,
Nous sommes bien d'accord pour les RG et/ou RD.
Par contre, en RG je ne pense pas qu'il y ait d'abri avec murs. Quand j'ai construit le cairn, sur le fil de la crête herbeuse arrondie, je n'ai rien remarqué, et pourtant j'étais à moins de 10 mètres de ce "cercle" que l'on voit sur Geoportail.
Mais en RD l'abri est tout à fait évident.
J'ai donc emprunté le bout de tracé qui part de la crête herbeuse arrondie, qui va dans le fond de la combe sous Rochasset, ai tourné à 2 épingles (dont un autre cairn à la première épingle), puis ai perdu cette trace... Elle ne continuait pas dans le fond de la combe sous Rochasset, et pour cause, puisque on comprend maintenant qu'elle traverse horizontalement, et part vers l'abri en RD. Pour la suite vers le fond de la combe Forane, je ne vois rien sur Geoportail...
Je ne comprends pas non plus où tu as vu plusieurs grands lacets (vus depuis Villard-Reculas) dans la combe Forane ??
C'est bien ça, en somme tu pensais à la rive gauche de la combe du Rochasset et moi à la rive droite; le plus intéressant c'est qu'une sente traverse horizontalement la combe de Rochasset en reliant les deux ruines et semble même poursuivre vers l'Ouest vers le fond de la Combe Forane. Plus bas on retrouve les deux grands lacets que tu as parcourus. Peu à peu un réseau se dessine...
Bonsoir Goupil,
A propos de l'abri de chasseurs à 2225 m...
Je n'avais pas compris qu'il fallait le chercher dans la combe Forane. Et pourtant ta phrase était explicite. Je regardais dans la combe sous Rochasset, là où je suis monté. Mais il fallait regarder plus à gauche. Et là je l'ai vu...
Cet abri a l'air magnifique. Sans toit, mais avec des murs qui ont l'air de bien tenir. Et puis il est placé sur un replat tout à fait sympathique. Ca fait envie...
Bonjour François,
je vois que notre façon d'appréhender cette montagne coïncide en tout, tout simplement parce que c'est la plus intuitive et logique à la fois.
Merci encore pour tes infos et les efforts que ceci suppose sur le terrain.....j'en suis bien conscient.
Alors voici plusieurs réflexions supplémentaires;
pour l'éventuel abri de chasseurs 2225m où effectivement il y a un carré de pierres entourant un pré, on voit juste à côté un cercle de pierres et c'est de lui que je parlais dans mon précédent message.
Quant au sentier qui y conduisait et que tu as emprunté, je l'avais également remarqué (il est parfaitement visible quand il y a un peu de neige) je crois l'avoir découvert par hasard depuis Villard Reculas, Géoportail le confirme même si c'est moins net. Et en effet il dessine plusieurs grands lacets et arrive dans le bas de la combe Forane sous la fameuse épaule où sont les ruines....il est donc vraisemblable qu'il s'agisse d'un ancien sentier de liaison entre bergeries et à l'occasion à une prise d'eau (pt 2016m); comme quoi tout le secteur était bien vivant il y a plus d'un siècle !
Et donc la question se pose de la liaison avec l'épaule, or précisément sur Géoportail on voit un magnifique sentier non pas dans le couloir que tu as emprunté à la descente, ni à l'Ouest mais au contraire à l'Est côté plaine des Sables, il quitte le pt 2016 pour rejoindre un éperon herbeux plein Est puis vire au Sud pour remonter une échine dominant le couloir et enfin rejoindre facilement les ruines .
Mais curieusement sur tes photos on ne voit rien de tout ça ! Qu'en est il sur le terrain ?
Quant aux cristalliers c'est vrai on parle de l'épidote du Cornillon sur internet. On pourrait évoquer l'activité minière d'Oulles et dans tout le vallon menant au Gd Galbert. Belles ruines encore présentes.
Et pour finir je suis étonné que tu n'aies pas trouvé le sentier de la face Nord qui était excellent, large et déroulant de courts lacets dans un secteur tranquille mais c'est vrai que ça date et qu'il suffit de deux ou trois arbres tombés en travers pour tout masquer...hélas !
Rassures toi je ne suis pas déçu, bien au contraire, je vis mon rêve par procuration !
Bonsoir Goupil,
Je te remercie de ce long commentaire.
Commentaire que la cime de Cornillon mérite amplement, puisque c’est bien elle la Reine de ce message sur Bivouak.
Je constate que tu avais étudié de près les possibilités d’aller au sommet. Et que cet itinéraire par l’Epaule Forane ne t’avait pas échappé. Rien n’est simple, vraiment, pour aller là-haut. Ni par l’est, pas plus que par l’éperon nord-est, encore moins par le versant nord, et ni par le sud, chaque chemin demande un effort certain, voire un effort au-delà des capacités (suivant le bonhomme). Je n’ai pas fait le parcours de l’arête qui vient du Grand Galbert, mais je m’en méfie, là aussi, car une courte partie demande probablement beaucoup d’attention. Peut-être irai-je voir cela, un jour… ???
Concernant l’éventuel autre abri de chasseurs, à la cote 2225 m, il me semble n’y avoir rien vu de précis. Je suis passé pile sur le petit éboulis dans lequel la photo Géoportail permet de détecter un carré sans pierres. J’ai construit un cairn justement à cet endroit-là, mais sans voir de reliquat de murs. A cinq mètres de distance, j’espère ne rien avoir manqué !
Par contre, il y avait là, un reste de sentier, nettement visible au sol, lui, et que l’on peut deviner sur Geoportail. J’ai pu en suivre le grand arrondi que l’on voit bien sur la photo, et deux épingles qui sont encore visibles en-dessous. Mais j’ai perdu cette trace, plus bas. Je suis persuadé qu’elle a existé d’antan.
Concernant l’éperon nord-est, j’ai fait 2 sorties au-dessus de l’Âne, en suivant exactement la même réflexion que la tienne. Je suis arrivé sur le point coté 1922 m, qui est une pointe bien marquée, avec un collu à sa droite en montant (c’est-à-dire au nord). Les pentes sont bien raides pour y arriver, et ce n’est pas du « tout cuit » quand même.
Ensuite j’ai trouvé un cheminement dans la partie qui devient rocheuse, mais ce cheminement s’est stoppé contre des falaises trop raides pour être tenté. Et je n’ai pas su atteindre le sommet à environ 2080 m, sur la crête de l’éperon. J’espérais, comme toi, trouver là un passage faisable, mais je ne l’ai pas trouvé (s’il existe ??).
Quant à cet autre passionné, auquel tu fais référence, je reste bien dubitatif sur son parcours, car les explications fournies ne recoupent absolument pas ce que j’ai pu observer sur le terrain. Pour tout dire, je ne comprends pas par où il serait passé. De plus, ses textes descriptifs sont pour de grandes parties des copié-collé des textes de Michel Pila, de Steph_38 ou de moi. Et pour terminer, comme il ne fournit pas de photos de ce secteur précis, le doute s’immisce… !? Bref…
Quant aux chasseurs, ils louent ici, sur ces flancs de la cime de Cornillon, une grande zone de chasse. Ils doivent donc être un peu chatouilleux, à partir du début septembre, et je vais éviter d’aller les embêter dans cette période (ce que je regrette, car septembre doit être magnifique sur ces versants…). Cette situation me fait penser à la situation bien connue, à la Tour Percée en Chartreuse, et je ne souhaite pas me faire « intimider » comme certains randonneurs l’ont subi là-bas.
Mais il y a aussi des cristalliers, qui ont aussi leurs quartiers à la cime de Cornillon.
Paraît-il que les pierres y sont belles ??
Pour la suite, il y a donc ce problème de chasse, qui devient bloquant. Mais il y a aussi le problème des difficultés intrinsèques des parcours qui devient lui aussi bloquant. J’arrive à mon maximum envisageable, maintenant (l’âge n’aidant pas, bien sûr…). Dénivelée, technique, longueur, recherche ; tout cela me dépasse un peu trop. Ce que je peux envisager, c’est de retourner en versant nord, pour chercher, en bas, la fin de ton chemin, que je n’ai pas encore trouvé. Pour le reste… ??
J’ai cru percevoir, dans ton texte, une déception de n’avoir pas marché sur cette épaule Forane, et sur la suite jusqu’à la cime. Si c’est le cas, je suis désolé d’avoir « enlevé » ce rêve, si ancien pour toi.
Puissent le texte, et les images qui vont avec, avoir compensé en partie cette déception !
A bientôt, Goupil.
Bonjour François,
en effet et bien que ce soit par le Sud cette fois, ce nouveau récit constitue la réalisation d'un rêve que je gardais secrètement depuis une dizaine d'année; merci de nous le présenter de façon aussi vivante, bien décrit et superbement illustré.
Certes je connaissais la sympathique cabane des Clots d'Oulles accessibles par trois itinéraires différents, personnellement j'étais arrivé par le haut via le replat 2191m du Géoportail avec retour par la Gorge Blanche (évidente dans ce sens mais pas du tout en montée !).
Je m'étais longuement interrogé sur la suite du parcours pour rejoindre l'épaule Forane où j'avais repéré la présence de ruines.....pas évident d'autant qu'un habitant d'Oulles m'avait fortement incité à rejoindre la Combe forane par le haut via le collet (2400m environ) dit des 3 fantômes (en réalité 3 gros cairns). C'est là d'ailleurs qu'Alain Lutz était arrivé avant de faire demi tour d'après son blog.
Quelques remarques:
il est à noter la présence sans doute d'un autre abri de chasseurs à l'altitude 2225m dans la Combe Forane sous le Rochasset, d'ailleurs la courbe de niveau dessine comme un éperon bien caractéristique d'un replat panoramique faisant face à l'épaule Forane !
La cabane à Franck est elle aussi facilement repérable...même sur Google Earth ! A proximité ce que je pensais être une antenne hertzienne (vu sa situation géographique remarquable) semble n'être en effet qu'une simple station météo d'après ta photo.
En ce qui concerne l'arête NE du Cornillon, je pense toujours que la suite de l'itinéraire se poursuit non pas en contournant le ressaut à l'ouest de l'Âne (qualifié de pénible) mais au contraire en rejoignant à gauche au dessus, des croupes libres de végétation.....en tout cas bien plus agréables jusqu'à proximité du point 1922m du Géoportail.....même si récemment un autre passionné s'est lancé entre les deux itinéraires par les couloirs terreux. Jonction possible ?
Bien sûr les chasseurs connaissent la solution et je comprends leur discrétion, peut on les blâmer de vouloir préserver ce petit coin de paradis pourtant si proche de l'agglomération grenobloise ?
Il n'en reste pas moins que c'est un merveilleux terrain d'aventure....pour randonneurs expérimentés et de ce fait également un petit jeu qui me régale par ses multiples découvertes.
En attendant encore un grand merci pour ton cpte rendu et en éspérant qu'il y aura une suite
Bonjour Goupil,
Il y a des nouvelles à prendre, au cas ou....
Bonjour Goupil,
Il y a des nouvelles à prendre, au cas ou....
Bonjour François,
ce serait un véritable exploit que de pouvoir rejoindre le replat du sommet N (2424m) du Cornillon où d'ailleurs est implantée une antenne hertzienne; on l'a voit bien (aux jumelles) depuis les hauteurs de Belledonne par exemple depuis les Vans ou tout simplement de la Croix de Chamrousse.
Une première étape serait de retrouver l'itinéraire provenant du pas de la Lauze juste sous l'Âne....mais tout ceci est sans doute très physique !
En ce qui concerne l'état des sentiers, on ne peut que malheureusement constater qu'il suffit d'un hiver pour tout dégrader voire emporter une partie du sentier; quant à la non fréquentation c'est l'affaire de 4 à 5 ans pour un retour à la sauvagerie.
Il y a lieu de faire remarquer ici, que la mauvaise habitude prise par IGN de supprimer les sentiers non balisés au fur et à mesure des nouvelles éditions contribue grandement à l'accélération de ce phénomène de retour à la sauvagerie et pourrait on dire d'abandon de nos montagnes !
Merci pour tes compliments mais je n'ai vraiment pas eu l'impression d'accomplir un exploit en franchissant la ravine de la Combe d'Estillère, sans doute le terrain était il plus confortable et la sente m'avait parue certes peu fréquentée mais pas à l'abandon et même assez propre dans l'ensemble.
Comme quoi tout change très vite !
Le plus impressionnant était la très raide remontée finale sur une échine caillouteuse et étroite pour retrouver le sentier aval; je n'aurai pas aimé la descendre et probablement aurai je dû renoncer.
J'attends avec impatience la suite de tes recherches dans le secteur.
Goupil,
Merci pour ta longue réponse, détaillée, précise, et qui me confirme comment m'y prendre maintenant pour arriver au bout de ce bout (sachant que ce bout du bout est à 2424 m...).
La traversée de la combe Chave doit être celle que tu décris comme "court passage aérien". Je dis cela d'après le tracé de la Didier Richard dont les courbes de niveau font intuiter une partie horizontale à cet endroit-là.
Je suis assez bluffé d'apprendre que tu étais descendu par l'Estillère sans savoir ce dont il s'agissait ! Déjà à la montée, j'ai trouvé cela bien impressionnant. Alors à la descente, peut-être bien que je n'y serais pas allé. Je sais bien qu'avec 18 ans de moins, on tente plus de choses qu'à l'âge qu'on a aujourd'hui. M'enfin bon... : t'es un "bon" et puis c'est tout !
Ce sentier ne doit plus être fréquenté depuis un bon bout de temps, car j'ai vraiment trouvé plein de branches en travers, et de cailloux sur la trace. Je ne sais pas dire s'il faut beaucoup d'années pour un tel "vieillissement", ou s'il suffit d'un seul hiver pour encombrer un chemin d'autant de débris naturels. As-tu une idée de la chose ???
Pour ce qui est de l'hiver, aux altitudes dont il est question là, c'est à dire entre 700 m et 1200 m, tout est clair en cette fin avril 2022. Je n'ai pas vu de neige sur la trace, hormis le reliquat latéral de névé (visible sur la photo) mais qui ne gêne absolument pas. Ce qui m'inquiétait plus, c'était ce qu'il pouvait y avoir au-dessus, c'est à dire en haut de la combe de l'Estillère, et qui pouvait se purger éventuellement au même moment que je la traversais. Et ça, en cours de printemps, on sait bien que cela peut se produire à tout instant, sans raison qu'on puisse deviner préventivement... Ce risque là disparaît (je pense) plus tard dans l'été, et à fortiori en automne. C'est pourquoi j'y reviendrai plus tard en saison.
Et merci pour tes encouragements à l'entretien de nos sentiers et chemins. C'est un "petit travail", qui double en fait le temps de marche, mais dont je me régale de le faire. J'ai eu l'occasion d'en être récompensé, en mars cette année. J'étais sur le sentier qui monte au Clos de Cornillon, versant est, par le sentier sud et la combe Forane. Là aussi le sécateur et les gants de chantier avaient bien travaillé, en deux scéances chargées. Et puis, croisé à la descente, un couple de randonneurs m'a dit avoir été bien surpris de trouver là un sentier aussi bien entretenu alors qu'ils pensaient le trouver à l'abandon. J'en ai juste dit un peu, mais..... les yeux ont pétillé de satisfaction rentrée.
A+ Goupil, et c'est avec grand plaisir que j'ai cet échange avec toi.
Bonjour François,
oui tu as bien saisi l'itinéraire que j'ai parcouru il y a un bon moment déjà, puisque c'était en juin 2004;.
Et en effet je suis redescendu par le sentier forestier de la face N encouragé par les balises rouges.
Ne sachant à quoi m'attendre je me suis dit que je pourrai toujours faire demi tour si un obstacle sérieux se présentait; mais en fait je suis parvenu sans grande difficulté jusqu'à la RN (borne du Km40 qui a été déplacée depuis lors).
Je me suis régalé à lire ton compte rendu car du coup m'est revenu en mémoire le passage du ravin de l'Estillère pour lequel j'ai hésité brièvement, et en fait c'est assez intuitif, on descend de 15m environ, on traverse sur de beaux rochers bien solides formant trottoir et l'on remonte sur une trace raide un peu aérienne pour retrouver la sente.
Mais avant ce passage il y a une autre combe ( Chave ou pas ?) qui se présente très différemment c'est un court passage aérien horizontal assez gazeux sur une étroite sente herbeuse (de mémoire) facile mais demandant de la concentration puis une descente oblique moins aérienne dans un terrain mélange d'herbe,roche et de terre avant de traverser et rejoindre la combe de l'Estillère.
Je pense que ce passage délicat se situe à proximité de la bifurcation (1200). Au delà, c'est à dire entre cette bifurcation et l'abri du Cornillon c'est une sente facile bien tracée, et balisée. Idem pour rejoindre le replat 1350m au pied d'une grande falaise sombre...terminus du sentier.
Juste avant d'y parvenir j'ai souvenir d'un abri fait de planches cloutées (niche pour chien ?) très très sommaire, ainsi que de quelques déchets...
Dernier point, mon passage par l'arête NE date d'avril 2007....suite au topo de M.Pila, car à vrai dire je ne savais même pas qu'il existait un itinéraire le long de celle ci. Ce fut là encore une belle découverte.
Ce n'est pas plus mal si tu attends un peu, car les dégâts dus à l'hiver compliquent la tâche si j'en crois ton récit.
Je partage entièrement ton point de vue, à ne jamais faire en hiver ! Je n'en veux pour preuve que les impressionnantes avalanches de neige qui arrivent jusqu'à la RN en hiver.
J'ai également très apprécié le fait que tu soulignes la valeur patrimoniale irremplaçable des sentiers tracés par les anciens et ce d'autant plus dans des lieux aussi austères que la face N du Cornillon !
Prenons en bien conscience et apportons notre contribution à leur entretien si modeste soit elle !
Bonjour Goupil,
Merci de ces précisions car maintenant je pense bien comprendre le cheminement que tu as suivi : d'abord l'éperon NE par les cables jusqu'à l'abri de Cornillon; puis le sentier horizontal en versant nord jusqu'à la bifurcation vers le haut; puis stop à 1350 m. C'est exactement le programme sur lequel je me suis arrêté pour la prochaine sortie (je ne sais pas quand ce sera, car je ne vais pas pouvoir sortir cette semaine, et les semaines suivantes s'annoncent pluvieuses...).
Par contre, as-tu fait la descente dans le versant nord jusqu'à la plaine à 710 m ??
Et si oui, comment as-tu trouvé le passage dans la grande ravine de la combe de l'Estillère ?? En venant par le haut, ce passage me semble difficile à déchiffrer, et bien impressionnant quand on ne sait pas comment il faut le prendre. La logique du plus facile à suivre apparaît quand même, mais il faut oser y aller, et si l'on ne sait pas si ça passe......
Autre question : en venant de l'abri de Cornillon, comment se franchit la première ravine de la combe Chave ?? As-tu le souvenir de quelque chose de compliqué ?
Dernière question : tu avais enregistré ton commentaire, sur le topo de Michel, en janvier 2007 (de mémoire) ou en février. Sont-ce vraiment les dates ? Car en hiver, il ne doit pas faire bon aller se balader dans ces travers... Peux-tu préciser ce point, stp?
A+
J'ai essayé de suivre la trace Didier Richard; d'abord l'arête NE jusque vers altitude 1210m où l'on trouve une cabane en rondins en partie affaissée, puis le sentier forestier balisé du bois de Cornillon en face Nord, on le quitte vers 1200m pour une bonne sente qui effectue plusieurs petits lacets et disparaît peu après au pied d'une haute paroi rocheuse (vers 1350m), on y trouve des traces de fréquentation (divers déchets), mais où est la suite ? Je ne l'ai pas trouvée et pourtant elle doit exister sans doute vers la droite. Tout ce que je peux affirmer c'est que ce lieu d'accès relativement aisé marque incontestablement un saut qualitatif, on passe d'une bonne sente à probablement un itinéraire de chasseurs nettement plus sauvage. Passer par le pas de la Lauze semble une meilleure idée malgré la traversée sauvage décrite dans le topo. A noter que le sentier du bois de Cornillon poursuit sa descente jusqu'à retrouver la RN91 au lieu dit km 40, de là on rejoint par une piste (démarrant au pt 710 de l'autre côté de la route) Rochetaillée en évitant la RN fort dangereuse.
Bonjour Luc,
Parfait d'avoir raccroché ces commentaires de 2022 au topo de décembre 2006 !
Par contre, il y avait déjà un commentaire de Goupil, du 10 février 2007 (de mémoire...), et ce commentaire a disparu.
C'est dommage.
Il faudrait le retrouver, pour remettre ce commentaire en ligne
ok, je viens de "raccrocher" vos commentaires au topo, ce sera plus parlant.
Faites-vous allusion à ce topo ?
https://www.bivouak.net/topos/topo-2588-cime_de_cornillon_par_l_eperon_nord_est-sport-2.html
Oui bien sûr.
Bonsoir Goupil,
Tu restes toujours très attentif, à ce que je vois... !
Mais je n'avais pas loupé ton commentaire dans le topo de Michel. Et je le garde bien en mémoire pour la suite. D'ailleurs, je note que tu as précisé ici un peu plus qu'en janvier 2007. Une information de plus est toujours bonne à prendre : merci.
De toute façon, je te tiendrai au courant.
A+
Bonjour François,
Oui je suis très attentif à toutes tes recherches et plus encore quand il s'agit d'un secteur que j'ai fréquenté à deux reprises avec bonheur.
J'ai laissé un compte rendu de mon escapade en face N en réalisant un circuit via l'abri du Cornillon souhaitant retrouver l'itinéraire Didier Richard mais j'ai prudemment renoncé et terminé en redescendant au km 40 de la RD1091 sur une sente assez facile.
Quant à l'autre par l'arête du Gros Cornillon, j'ai atteint les ruines étagées de la Lauze (1700m) puis quittant la sente (toujours balisée de points rouges) rejoint à vue le sommet de l'Âne 1773m; en réalité la sente se poursuit jusque vers 1800m où j'ai fait demi tour en raison de la présence de neige, il m'a semblé qu'une trace raide rejoignait l'arête vers une épaule dégagée.
Au plaisir de te lire
Goupil
Faites-vous allusion à ce topo ?
https://www.bivouak.net/topos/topo-2588-cime_de_cornillon_par_l_eperon_nord_est-sport-2.html
Bonsoir Goupil,
Tu restes toujours très attentif, à ce que je vois... !
Mais je n'avais pas loupé ton commentaire dans le topo de Michel. Et je le garde bien en mémoire pour la suite. D'ailleurs, je note que tu as précisé ici un peu plus qu'en janvier 2007. Une information de plus est toujours bonne à prendre : merci.
De toute façon, je te tiendrai au courant.
A+
J'ai essayé de suivre la trace Didier Richard, d'abord l'arête NE jusque vers altitude 1210m où l'on trouve une cabane en rondins en partie affaissée, puis le sentier forestier du bois de Cornillon en face Nord, on le quitte vers 1200m pour une sente qui effectue plusieurs petits lacets et disparaît peu après au pied d'une haute paroi rocheuse; ensuite une trace engagée d'une raideur impressionnante monte droit légèrement sur la gauche; à droite c'est l'impasse. Effectivement passer par le pas de la Lauze semble une meilleure idée. A noter que le sentier du bois de Cornillon poursuit sa descente jusqu'à retrouver la RN91 au lieu dit km 40, de là on rejoint par une piste (démarrant au pt 710 de l'autre côté de la route) Rochetaillée en évitant la RN fort dangereuse. Merci pour le topo.
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10-12-2006 | Week-end Loose premier Acte. Décidé mais pas motivé pour faire du... | Michel Pila | ||