Retour en enfer, après ces heures au paradis, dernier coup d'oeil au maitre des lieux, au dessus du plateau d'Assy
Impressionnant cette barre détritique que le sentier confortable traverse.
Depuis le passage du Dérochoir, à ne pas confondre avec le col du même nom, à peine plus à l'Est et infrachissable pour le randonneur sur son versant sud.
40m d'avancée sur le vide, un jour il descendra sur les chalets en dessous.
Lors de ma première visite, assis dans l'herbe au sommet, j'écoutais mon père nous raconter qu'il était encore invaincu. C'est alors que mon frère voit sortir un casque rouge. Deux cordées venaient de le gravir, mais elles n'étaient pas les premières .:lol:
On s'y baignerait non. Les Aravis, puis les Bauges, en face le Beaufortain, le reste est dans la brume
Le regard part du sapin, monte vers Ayère et poursuit la trace de l'avion... Une rando qui vous emmène au ciel .:o
La dalle de la Li Blanche et le Bonhomme depuis le Bélvédère au dessus de Champex. On ne remonte que la première partie de l'arête, au collet (panneau) on prend à gauche le sentier d'aller jusqu'au Fratsay (autre panneau)
Constatez par vous-même la raideur des pentes et la neige qui recouvre et rend glissant le sentier.
Le panorama depuis les arêtes du Roc d'Enfer sur la mer de nuages dans la vallée de l'Arve et la chaine du Mont Blanc
Bel auvent, au début du sangle inférieur dit sangle des Arches de Bellefont
On devine le couloir sud, majoritairement en herbe, par lequel on rejoint le Dôme de Bellefont depuis le sangle supérieure
En haut le passage probable de l'itinéraire n°9, au milieu le notre. On voit la zone délitée sous le nez et le monolithe à gauche
Le sangle supérieur, plutôt confortable, car une trace large et plate longe la plupart du temps la falaise. Plus confortable pour les petits néanmoins, car le plafond est bas .:?
La très large et confortable vire superieure, avec au fond le couloir d'éboulis que l'on redescend, et juste au dessus de Jean-Phi, la sortie de la cheminée par laquelle on a débouché.
Depuis la Tête de Garnesier, les 2 arêtes du Chamousset que nous avons parcourues le matin même.
En venant du Chamousset, l'itinéraire emprunté sur la Tête de Garnesier.
En jaune les parties en escalade, le reste est de la marche.
En pointillée les parties cachées.
Depuis le GR en contrebas, les vires Sombardou haute et basse avec le rocher rond à droite.
Une aiguille insolite sur la vire supèrieure de Sombardou, au fond le mont Aiguille et le Grand Veymont. La sente est bonne, le troisième et dernier passage stressant est juste derrière.
On voit bien la "bonne" vire et la sente qui la parcoure et à gauche le rocher rond (?)
Quand il n'y a plus les abres, on se sent moins tranquille.
Il y a du gaz, vers le bas ça plonge vraiment. Photo prise peu après le premier passage stressant.
Voilà le début de la vire du haut. Pour ce qui est des 2 cirques herbeux décrit pas P. Sombardier, ça ressemble pas trop, mais ça parait jouable alors on y va.
Il est probable que la bonne vire est la plus large, à peu près à la hauteur du photographe. Mais celle que nous avons empruntée est celle du haut, qui est beaucoup plus étroite.