Dans cette section le talus s'est affaissé, et il ne reste qu'une toute petite trace sous les feuilles.
La piste alterne des portions raides-droit dans la pente, et des portions horizontales pour se reposer.
Au-dessus de Saint-Paul-de-Varces, se trouve le réservoir et le talus de protection. Dans le fond du vallon, il y a la source des Mousses. Et dans la forêt à droite remonte le chemin en direction du col de l'Arc.
Vue faite depuis le pied de l'arche de la Combe de l'Homme.
On voit les gorges de Pommerol.
L'arche de Pommerol se trouve quasiment au centre de cette photo.
La voiture, garée sur le bord de la route, se trouve juste à côté du panneau de l'Office National des Forêts.
Juste un aperçu de ces parterres de jonquilles que l'on trouve là-haut...
C'est vraiment très beau.
Côté ouest : c'est le Cornafion qui s'impose, de toute sa largeur !
Et juste à droite de la croix, c'est le pic Saint Michel.
Tout au fond, dominant les brumes de la vallée, sont les sommets de la Chartreuse
Au sommet, une croix joliment décorée a été installée sur un gros cairn. Elle domine le fond de vallée de Saint Paul de Varces. Plus loin au nord se trouve la cuvette de Grenoble.
Vous voilà sur la crête sommitale. A droite le soleil du matin. A gauche le côté ouest qui fait face au Vercors. Droit devant, cette belle trace, propre comme tout, qui zigzague entre les arbres : un vrai plaisir !
La photo est ici prise droit vers l'amont de la pente. C'était pour montrer la petite ravine, que l'on doit laisser toujours à sa droite, et dans laquelle je supose que les forestiers d'antan faisaient glisser les troncs. En tout cas, le sol est râpé de tout la couche de surface, la terre est mince avant de toucher le caillou, et un épais tapis de feuille séchées recouvre le tout. Ce n'est pas aisé de remonter là-dedans, et j'en suis vite ressorti.
Une fois quitté le chemin, il faut monter droit dans cette forêt jeune. Ici, tous les arbres sont de petit diamètre, signe que la forêt vient juste de reprendre sa place après de longues périodes d'exploitation.
Subtile, car cachée, la trace du chemin est bien là-dessous. Un très léger creusement du talus amont marque le bon passage. Par endroit ce chemin est un peu plus large. Quoi qu'il en soit, il se faufile entre les petits chênes.
Dernier regard vers le sud avant de rentrer dans la forêt de pins. Au-dessous, la basse vallée de la Gresse. Tout au fond, le rocher du Baconnet qui domine le col de Fau.
Un peu au-delà de l'ancienne ferme d'Uriol, la piste traverse des prairies dégagées. Ici, les lieux inspirent la sérénité, même si le fond sonore de la vallée, et de l'autoroute, s'impose plus qu'on ne le voudrait. Au fond, se devine le Trièves.
Cette suite de la façade ouest du Dévoluy ne manque pas d'allure...
La façade ouest du Dévoluy est très longue. Ici ce n'est qu'une partie de la zone centrale : les Charances.
C'était en fin d'après-midi, hier dimanche, depuis les pentes de la barrière est du Vercors...
Rien que pour ces lumières, et ces paysages, la balade avait toute sa valeur !
La voilà, cette belle petite cabane, sur l'épaule du haut du vallon, et sous les crêtes de Samaroux.
Vue d'ensemble du parcours.
Comme toujours, photo faite par Rafaël, depuis le sommet de la Pale.
Depuis le premier éperon, vue sur le deuxième.
Son confort est lui aussi de classe internationale.
Pour aller le rejoindre, il faut passer sur la droite de la photo, et descendre le couloir étroit (qui ne se distingue pas sur cette vue).
Le premier éperon que l'on rencontre est d'un confort à toute épreuve.
Quant au panorama que l'on a de là, aucun appareil photographique ne saurait le restituer. Il ne vous reste donc plus qu'à aller le contempler sur place...
Nous voilà bien avancés dans le cirque.
Essayez donc de voir Raf, tout au bout de la trace, là où elle touche le rocher blanc.
Et Cathy, elle, se trouve quelques mètres moins loin, juste à la verticale sous la fissure-dièdre noire qui tombe d'en haut...
On est petits dans ce décors !
Nous nous engageons maintenant dans le large cirque aux pentes herbeuses.
La trace des bêtes est excellente, bien qu'un peu raide au départ.
Un peu après la fin de la traversée, nous entrons dans le "cirque aux pentes herbeuses".
Tout un ensemble d'éperons apparaissent maintenant qui, chacun garni de ses vires vertes, donnent une puissance étonnante à ce lieu...
Quelle est belle, cette barrière est du Vercors !
Cet endroit est (peut-être?) le plus grandiose de toute la randonnée...
Maintenant décordés, nous arrivons à l'angle sud de la Traversée.
Coucou le Mt Aiguille !
Regard vers le sud, cette fois. C'est la fin de la Traversée de 50 mètres. Le sentier est particulièrement confortable.
Plus loin devant, commencent à se voir les profils de la Peyrouse et du Ranc Traversier.
Au milieu de la Traversée, la largeur a augmenté, mais il faut toujours être attentif.
Ce passage est vraiment de toute beauté...
tout en haut de la grande vire, commence la Traversée.
Un simple rebord, d'un mètre de large permet de continuer ce magnifique itinéraire.
Attention au vide droite !
La voilà !
Elle est belle, n'est ce pas ?
Dimensions : 15 mètres de large et 100 mètres de long (environ).
C'est un énorme boulevard.
Au bout, tout en haut, on débouche en plein vide, face au Dévoluy. Panorama de première classe garanti.
Vue du deuxième replat, la même face rive droite du couloir 6.5 prend beaucoup d'ampleur. Le profil du pilier est magnifique !
La vire qu'il faudra emprunter ensuite débouche aux 2/3 de la hauteur du pilier. On ne la voit pas encore, mais elle est très large.
Admirez la qualité du calcaire, ici.
Tout plat, et bien solide. En plus il y a toutes les prises nécessaires pour grimper. C'est un vrai régal !
Depuis un premier replat, la face en rive droite du couloir 6.5 est bien raide.
Le couloir, lui, s'enfonce tout au fond, par un corridor par endroit large de moins de 2 mètres.
Depuis le sentier du pas Morta, c'est ainsi qu'apparaît le couloir "6.5". C'est un peu austère, mais plus quand on le voit de loin que quand on est dedans.
Attention aux chamois ou bouquetins qui sont dans ce couloir. Laissez-les fuir devant vous avant de commencer à monter.
Itinéraire tracé sur une vue faite par Rafaël Rodon depuis la montagne de la Pale : merci à lui pour ce cliché qui montre on ne peut mieux toute cette magnifique face de la 7ème tour du Playnet.
Grande balade, que cette vire de la 7ème tour !
Avec peu (ou pas ??) d'équivalent dans nos falaises...
A aller goûter, avec délectation, et sans modération !
Je me retourne.
Un énorme bombé de roches impressionne, là, juste au-dessus. Une escalade parcourt ces fissures qui montent, presque rectilignes, jusqu'au sommet. D’antan j'y serais allé ! J'aurais mis mes mains dans leurs anfractuosités, j'aurais saisi leurs aspérités, et serais sorti, heureux, enthousiasmé, sur les crêtes finales de ces superbes falaises !
Un passage terreux, puis un passage rocheux, puis un balcon ludique, m'amènent vers la fin.