BIVOUAK
Voyant les commentaires ci-dessus, à ton sujet, je ne pouvais pas rester simple lecteur.
Alors j’interviens, avec mes mots, avec mon style. J’interviens non pour fustiger, mais bien plutôt pour « chanter louanges ».
Bivouak,
Ton nom fait résonner en moi un torrent d’émotions qui, comme l’eau impétueuse dans la montagne, projette ses gouttes dans toutes les directions.
Il y a l’émotion de la joie – si forte chaque fois ; mais aussi celle du plaisir, relancé par ta présence dans les moments un peu mous ; celle encore des rencontres que tu m'as procurées, qui ne s’oublient plus, et qui ont empli ma vie montagnarde ; celle parfois de la plénitude - même si l’on sait que ce n’est jamais que momentané.
Bivouak , tu as déployé pour moi – mais aussi pour beaucoup, je l’espère – de magnifiques horizons colorés. Colorés avec les couleurs les plus chaudes que cette activité de loisirs puisse offrir. Et parce que tu as été là, ces émotions ont été amplifiées, jusqu’à des hauteurs que je n’aurais pas soupçonnées. Sans toi, combien de larmes – chaudes, bien sûr – n’auraient su couler sur mes joues… ???
Comment oublier tout cela ???
Jamais.
Ces amis que tu m’as fait rencontrer, puis accompagner, font partie de ceux qui se placent tout en haut de l’échelle de l’amitié. Comment oublier cela ???
Alors merci !
Merci Bivouak !
Oui Luc, merci,
Ymerci Ben,
ainsi qu’à tous ceux qui vous aident, à côté de vous. Vous qui avez fabriqué ce « bébé », vous qui avez mis la première pierre à cette construction, si précieuse et tant généreuse… Bivouak, cet enfant de 18 ans maintenant, majeur donc, mais auquel vous devez tenir la main, encore, et pour longtemps j’espère…
Je n’oublierai pas, Luc, tes encouragements à me faire écrire, sur Biv justement, ces textes que je n’osais pas même imaginer.
Alors, compte tenu de tout cela, compte tenu de la valeur de tout cela, les questionnements sur la forme me semblent un peu inappropriés. J’essaye de revenir au fond. Je repense à ce que Bivouak m’a procuré, au fond, et j’essaye de le présenter à ses lecteurs…
Si j’écris moins, depuis quelques temps déjà, c’est parce que je balade moins.
Tout simplement.
Mais « Bivouak.net » reste tous les jours, dans mes favoris.
Et en bonne place.
A demain, Bivouak !
françois lannes