Merci beaucoup Michel pour tes infos complémentaires, et bonnes balades à toi aussi. :)
Alors là Eric tu réponds exactement à la question que je me posais au sommet, mais d’où provient le sentier marqué de bleu sur l'arête nord ? Venant du sud et non du col, j’ai suivi un chemin qui montait en diagonale vers le nord, celui-ci ma conduit entre le col et le sommet vers 1250m. J’ai poursuivi directement vers le haut depuis la fin du chemin (mais il doit en exister un plus bas puisque je l'ai retrouvé a la descente) en bordure de cette coupe qui, il faut bien le reconnaître n'a pas laissé le terrain indemne. Par dessus le marché, on peut noter un nombre assez élevé d'arbres morts en travers ce qui n'arrange rien. Cela dit cela ne fait que 200 m de dénivelée façon sanglier. Au début de la descente, j’ai bien vu les marques orange qui succèdent brutalement aux marques bleues, et je me suis empressé de les suivre : C'est pas terrible car cela ne mène a rien, j'ai fini par dévaler tant bien que mal (avec des pompes légères) dré dans le pentu, encore une fois la distance n'est pas très longue avant de retrouver un chemin qui descend sur le col de l'Epérrimont. Je pense que ton itinéraire est sans doute plus commode que le mien…. A savoir traverser par le chemin plus vers le nord pour atteindre l’arête nord et suivre le semblant de chemin bleuté a cheval sur la crête. Bonnes balades
Il y a trois semaines je suis monté à ce sommet... et pour jouer dans l'euphémisme, j'ai un peu galérer pour trouver ce sommet pour les raisons suivantes : Progressant dans un champ de bataille digne de bombardements réguliers au dessus du col de l'Eperrimont (une grosse trouée méritant le "Bucheronnage Barbare d'Or" des dix dernières années , bien visible d'ailleurs du Cornafion), j'ai suivi mon instinct vers la crête sommitale après le troisième lacet d'une piste de débardage. Galère de 30 mn environ. Après une petite escalade amusante (et peinturlurée en bleue) sur un pointement rocheux (entre l'Echaillon et l'Eperrimont), j'ai suivi une trace toujours balisée en bleue jusqu'au sommet de l'Eperrimont. Pour le retour, que vis-je? Des marques orange descendant dans le flanc ouest. Imaginant la situation quelques mètres en contrebas de ce versant, dû au terrain apocalyptique précité (et je pèse mes mots), je n'ai pas osé descendre en suivant ce balisage. Donc Michel, ai je suivi à peu près ton itinéraire?... Ou me suis je fourvoyé, une fois n'est pas coutume, sur un terrain foireux où personne ne va ?